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ISLAY 14 ans 2005 Big Peat’s Finest French Connections D.Laings – 54.60%

Fred Laing s’est rendu sur l’île d’Islay non loin de la célèbre Kildalton Cross pour faire franchir à son Big Peat le petit promontoire qui sépare les blended malts des single malts. C’est pourquoi cette version baptisée « Big Peat Finest » a rejoint la collection Old Particular de la maison Douglas Laing.

Lorsque l’on déguste pour la première fois ce single malt magnifiquement tourbé, fumé et rocailleux, on ne peut que lui donner raison d’avoir pris cette initiative. Désormais, il appartient à ceux qui le souhaitent, et ils seront nombreux, de s’adonner au jeu des pronostics afin de savoir qui se cache derrière cette étiquette côtière.

En tous cas, une chose est sûre, cet exercice doit faire sourire cet homme charismatique qui n’a pas l’habitude de donner sa part aux anges en matière de malice.

 

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Nez :

à la fois vif et onctueux. Au premier nez, des notes de fumée, d’arnica, de vanille et de citron sont intimement liées les unes aux autres. À l’aération, la fumée gagne en intensité et ses tonalités médicinales se transforment en piments (Espelette, paprika). Avec le temps, la palette aromatique dévoile des parfums de fleurs capiteuses (lavande, iris) et de fruits mûrs (poire, prune). En filigrane, des arômes maltés rayonnent d’intensité et de fraîcheur herbacée (foin coupé).

Bouche :

droite, précise. Au diapason du premier nez, l’attaque en bouche constitue un subtil mélange de notes fumées, cendrées et vanillées. Parallèlement, des saveurs anisées lui procurent beaucoup de vivacité. En milieu de bouche, une tourbe humide s’harmonise parfaitement avec l’amertume d’un chocolat noir 100 % cacao et avec la douceur d’une poire confite. Animale (bacon, viande des Grisons), l’arrière-bouche met en scène une tourbe de plus en plus huileuse et maritime (embruns, sel).

Finale :

longue, soyeuse. En entame de finale, l’orge maltée prend de la hauteur pour mieux mettre en valeur le caractère minéral et rocailleux de la palette gustative. L’espace d’un instant, on imagine le bruit des vagues heurtant les rochers au rythme de la marée. Toute aussi imagée, l’arrière-bouche évoque une plage à marée basse recouverte d’algues et de coquillages. En rétro-olfaction, la même orge maltée revêt des accents vanillés d’une grande suavité. Le verre vide est légèrement médicinal, torréfié (orge cuite) et cendré.

Bouteille de 70 cl

Poids2,1 kg